A Dublin, Gaëlle Baumann a remporté ce que beaucoup considèrent comme l'autre Main Event du WPO : le Winamax Beer Pong Open. Presque aussi intense qu'une victoire au poker ? On dirait bien.
Je regarde les nombreuses tables autour de moi et l'ensemble des équipes présentes avec une seule idée en tête : toutes les poutrer, et être la dernière équipe encore debout au final.
Quand Romain Lewis nous raconte la partie la plus chère de sa carrière, ou le plus gros pot qu'il a disputé en tournoi, cela donne un récit riche en sensations fortes, comme seul le poker peut nous en procurer.
J’aurai pu écrire un blog entier rien que sur les coups que j'ai joués à Vegas cet été, mais je vais remonter un peu plus loin dans le temps et trouver quelques moments très marquants, pour essayer de décrire l’évolution dans ma réflexion : comment j’ai abordé le tournoi (ou la main) en question et ce que je peux en tirer. Dans ma première partie, je vous ai peut-être surpris avec quelques mains de ma période non-professionnelle. Entrons donc dans le monde des pros...
Tout se déroule comme dans un rêve sur le Main Event des WSOP pour Tony Miles, qui est maintenant aux portes de la finale. Le moment est venu pour Coach Calamusa d'entrer en scène.
Je comprends que la clé n’est pas de faire de Tony une machine d'une précision technique irréprochable. La pierre angulaire de mon coaching est plutôt de proposer à Tony une liste des scénarii probables en fonction de ses tables, puis de lui faire intégrer un panel de stratégies assez basiques pour chacun d'entre eux, avec à chaque fois des ranges préflop bien établies.
C'est bien connu : un match se gagne bien avant le coup d'envoi. Sylvain Loosli nous livre ses secrets pour être au top dès le shuffle up and deal.
Un joueur ne se préparant pas mentalement avant une longue session de poker peut-il vraiment espérer être performant, et être capable d’endurer toutes les situations complexes qui vont se présenter à lui tout au long de la journée, aussi bien dans le jeu qu’au niveau émotionnel ? Un pro qui ne se prépare pas avant de jouer doit se préparer à obtenir des résultats d’amateur.
Se faire staker lorsque l'on déclare ses gains : un vrai casse-tête ! Avant de partir jouer un Highroller d'ores et déjà historique aux Bahamas, O RLY nous apporte un éclairage intéressant sur sa situation actuelle.
Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts. J’ai acquis beaucoup d’expérience en live, mon jeu a évolué, progressé, s’est adapté et affûté au fil du temps. C'est pourquoi je me sens aujourd'hui prête à remettre le couvert sur un 25K.
Être joueur sponsorisé, c'est un peu comme se retrouver dans un film de Sergio Leone : il y a les bons moments, les mauvais et les vraiment moches. Leo Margets en sait quelque chose, elle raconte.
Quand on s’expose publiquement, on reçoit forcément des commentaires (positifs ou négatifs), mais on n’aura jamais le contrôle dessus. L’unique chose que l’on peut contrôler c’est comment gérer cette exposition et comment accepter ces commentaires.
Adrián Mateos ne passe pas beaucoup de temps chez lui, mais quand il le fait... c'est pour travailler ! Autoportrait d'un perfectionniste.
Les jours que je passe à la maison ne constituent pas des instants de repos. Au contraire, c’est le moment de me poser en face de l’ordinateur et d’envoyer du volume online. Non seulement j’y prends du plaisir, mais cela me permet aussi de continuer à perfectionner mon jeu.
Une gagne à 700 000 €, une naissance et un retour en force sur le devant de la scène : cette année, Davidi Kitai a connu tout le bonheur du monde !
J’ai atteint les places payées de plus de 50% des Main Events que j’ai joués. Par ordre chronologique, cela donne : WPT Berlin, APPT Macau, partypoker MILLIONS Barcelone, EPT Monaco, Main Event des WSOP, et WPO Dublin.
Quatre podiums WSOP et quasiment un million de dollars de gains en live : mais qu'est ce qui est donc arrivé à Romain Lewis en 2018 ? Le Bordelais vous donne quelques pistes dans son nouveau blog.
L'année qui vient de s'achever fut ma quatrième sur le circuit (la troisième en tant que professionnel), ainsi que celle dont je suis le plus fier de ma petite carrière. 120 tournois dans 14 destinations, 35 avions pris, des hauts, des bas, des moments magnifiques et d'autres plus durs, mais surtout une tonne d'émotions positives dont je me souviendrai toute ma vie. C'est l'heure du récap d'une année incroyable sur le plan personnel.