Épaulé par Pierre Calamusa, l'américain Tony Miles n'est plus qu'à deux marches du titre suprême de poker. Suite et fin d'une saga haletante au cœur du Main Event des WSOP.
J'ai assisté à l’un des plus beaux spectacles jamais donnés dans le monde du poker. Un face à face incroyable entre deux joueurs de classe mondiale, et des coups absolument hallucinants.
Devenir joueur de poker professionnel : un rêve pour beaucoup, qui cache une réalité bien différente et de nombreux sacrifices. Aladin Reskallah en sait quelque chose.
Depuis ma réintégration dans le team Winamax, je reçois beaucoup de sollicitations sur les réseaux sociaux de joueurs qui souhaiteraient devenir professionnels ou, pour commencer, devenir gagnants.
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Tout cela suscite chez moi pas mal de questions, dont une qui englobe toutes les autres : dois-je réellement, en mon âme et conscience, encourager des gens à essayer de devenir pro ?
Il n'est pas toujours facile de trouver sa place au sein du système, mais cela ne veut pas dire que l'on ne peut pas tracer son propre chemin. Une touchante tranche de vie, par Gaëlle Baumann.
J'ai ce besoin permanent de prouver à moi-même et aux autres que je peux le faire. Je suis ainsi très reconnaissante d'avoir eu la liberté et le soutien de mes parents dans mes choix. C'est ce qui m'a permis de faire la transition entre mes études et le poker de façon tout à fait naturelle.
Comment Romain Lewis se prépare-t-il pour les WSOP ? Avec un cahier, un crayon et surtout tout un tas de notes et d'objectifs. Entrez dans les coulisses du succès.
J’adore ce que je fais au quotidien, le jeu me passionne davantage tous les jours mais l’un de mes travaux les plus difficiles reste de rationaliser ce que je fais jour après jour. Comment savoir si mon travail est bon ou complètement inutile ? Comment savoir combien d’heures je dois consacrer à chaque compartiment de mon jeu que je souhaite améliorer ? Comment me battre avec mon ennemi juré la procrastination, tout en profitant du confort que m’offre ce style de vie ? Jusqu’à quel point faut-il souffrir pour réussir ?
Et si la meilleure manière de parvenir à ses objectifs, c'était d'abord d'identifier ce qui nous empêche de les réaliser ? Leo Margets vous aide à prendre votre courage à deux mains.
Le mois dernier, je me préparais pour voyager de Barcelone à Vegas, avec une escale à Montréal. Dans l’avion, j’étais en train de chercher un film idiot pour m’endormir, mais quand j’ai vu que dans la rubrique des divertissements pour le vol, il y avait des "Ted Talks", j’ai changé mes plans. Je suis tombé sur une conférence de Tim Ferriss intitulée “Pourquoi on devrait identifier nos peurs plutôt que nos objectifs ?”
Même pour Davidi Kitai, le Main Event des WSOP représente LE rêve ultime. Le Génie revient sur son édition 2019, entre goût d'inachevé et promesses pour le futur.
La première fois que j’ai joué le Main Event des World Series of Poker, alias le plus beau et le plus gros tournoi de poker au monde, c’était en 2006. À l’époque, je m’étais qualifié online pour quelques centaines de dollars. Rien qu’à l’idée de jouer ce tournoi mythique, j’avais vraiment ressenti une sensation exceptionnelle.
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Toute ma carrière de joueur de poker a toujours été stimulée et guidée par le rêve de gagner le Main Event un jour. Ce tournoi m’a insufflé de l’énergie et inspiré de l’espoir ! C’est grâce à lui que ma passion pour le poker reste intacte et que ma motivation perdure. C’est à moi de transformer ce rêve en réalité. J’ai envie d’y croire et je me donne toutes les chances pour y arriver.
Une préparation intensive, une équipe de choc autour de lui et une grosse perf' à la clé : Pierre Calamusa revient sur son bel été de WSOP.
Après la PCA, j'ai commencé par changer de fond en comble ma préparation pour les gros tournois live. J'étais arrivé aux Bahamas sans aucune préparation physique ni mentale, ce qui avait conduit à une prestation catastrophique sur le Main Event. Certes, j’ai terminé 25e, mais j'avais une occasion en or d'atteindre la finale. À force de répéter les erreurs, arrivent un moment où elles deviennent des choix. J'ai donc investi énormément de moyens pour aborder cet été à Vegas de la meilleure des manières.
Une préparation intensive, une équipe de choc autour de lui et une grosse perf' à la clé : Pierre Calamusa revient sur son bel été de WSOP.
Après la PCA, j'ai commencé par changer de fond en comble ma préparation pour les gros tournois live. J'étais arrivé aux Bahamas sans aucune préparation physique ni mentale, ce qui avait conduit à une prestation catastrophique sur le Main Event. Certes, j’ai terminé 25e, mais j'avais une occasion en or d'atteindre la finale. À force de répéter les erreurs, arrivent un moment où elles deviennent des choix. J'ai donc investi énormément de moyens pour aborder cet été à Vegas de la meilleure des manières.
Aucun ITM au compteur mais beaucoup de beaux souvenirs et autant d'étoiles dans les yeux pour Gaëlle Baumann : récit d'un été de WSOP surtout passé en dehors des tables.
Mais alors, qu'est-ce qu'on fait quand le poker se résume à sauter d'un tournoi, re-entry et sauter à nouveau dans l'heure qui suit ? Vous me connaissez, je ne suis pas du genre à m'apitoyer sur mon sort mais plutôt à profiter des à-côtés pour passer un bel été malgré tout ! Si jamais vous vous retrouvez un jour dans la même situation à Vegas, voici quelques tuyaux pour occuper vos journées.
Entre ses propres perfs et les victoires répétées de ses copains, Adrien Delmas a vécu un Vegas riche en émotions. C'est parti pour un bilan bien chargé.
Les objectifs, beaucoup de joueurs s’en fixent pour, mettons, un festival, mais ne reviennent jamais dessus ensuite pour essayer d’en tirer des leçons claires, et créer des lignes de conduite efficaces pour les tournois futurs. C’est que je me propose de faire ci, avant de revenir sur les moments les plus marquants de mon été (et il y en a eu un joli tas !)
